MYTHE 1 : Les salariés des partenaires offshore travaillent dans de mauvaises conditions, Turn-over important
Cette idée reçue est complètement caduque, nous ne sommes plus à l’âge de pierre ! Pour garder nos salariés, on doit mettre l’accent , sur d’excellentes conditions de travail. Le volet RH est crucial :
Offrir des salaires justes et compétitifs, + nombreux avantages sociaux
Garantir de bonnes conditions de travail
Participer à l’encouragement de meilleures pratiques environnementales,
Investir dans les formations , Plan de Carrière
Rencontres physiques et des actions d’incentive.
S’il diffère d’un pays à l’autre, le droit du travail n’est pas aussi flexible que certains le laisse à penser. Les collaborateurs ne partent pas du jour au lendemain. Ils effectuent un préavis de plusieurs mois durant lequel ils vont assurer le transfert de compétences et le passage de relais
MYTHE 2 : Manque de fiabilité et de qualité
On assite à un mouvement d’industrialisation du marché global grâce à la poussée du cloud (IaaS, SaaS, PaaS) mais aussi à l’adoption de référentielles qualités structurantes (CMMi, Itil…), au recours aux méthodes agiles (Scrum, Kanban, XP) et à leurs différents prolongements (lean startup, DevOps…)
La professionnalisation du marché favorise grandement l’offshore. En partageant les mêmes standards de qualité et cadres méthodologiques, reconnus internationalement, une entreprise est plus à même de travailler avec un prestataire étranger.
L’industrialisation des services implique aussi de s’outiller en conséquence avec serveurs sécurisés , des solutions de management collaboratif comme celle qui est utilisé chez Neoshore.De plus, L’équipe dirigeante est Belgo-Franco-Hollandaise et localisée physiquement sur les différents sites
MYTHE 3 : L’offshore détruit les emplois en Belgique
C’est le reproche le plus souvent avancé par les détracteurs de l’offshore. C’est oublier un certain nombre de réalités. En Belgique, le marché des services ( Financiers, relation client, IT) n’a jamais autant recruté. Dans certains secteurs, on est même en situation de pénurie. Le marché des services est particulièrement dynamique alors que les prestations réalisées dans les pays Nearshore -Offshore à bas coûts pour des entreprises belges n’ont cessé de progresser. L’objectif est , de valoriser les expertises métier et fonctionnelle qui ne sont pas “délocalisable”.
Enfin, rappelons que l’externalisation est créatrice de valeur pour notre pays. Un certain nombre de projets n’auraient pas vu le jour faute d’expertise ou de rentabilité économique sans l’offshore. D’autres chantiers qui n’aboutissaient pas ont trouvé une seconde vie en partant à l’étranger.
MYTHE 4 : Pas de Retour sur Investissement
Au cours des dernières années, un grand nombre d’entreprises se sont tournées vers l’externalisation uniquement pour réduire leurs coûts. C’est un mauvais calcul car le tarif du jour/homme même s’il est inférieur ne doit pas être le critère décisif et exclusif. Il y’a plein d’autres raisons d’externaliser :
Gagner en agilité et en expertise. L’entreprise s’appuiera sur un très large choix de talents sans avoir à les gérer en interne.
Gagner en réactivité sur le marché
Assigner des taches plus valorisantes a son propre personnel
En ce qui concerne le prix, il n’y a pas de mystère. La rémunération varie en fonction de la qualité de formation sur place (universités, écoles d’ingénieurs),des compétences linguistiques requises…
MYTHE 5 : Les différences culturelles rendent la communication impossible
Dans le choix de la destination, on a beaucoup réfléchi et on s’est posé les bonnes questions par rapport au fuseau horaire, la langue, la culture qui sont des critères décisifs . C’est pour ces raisons qu’on a choisi le Maghreb, Madagascar et le Suriname.
On constate tous les jours, que les différences culturelles s’estompent. Partout dans le monde, les gens parlent anglais ,français ( ou autres), s’occidentalisent. Ils sont sur Facebook et LinkedIn, s’informent sur les mêmes sites que leurs collègues virtuels basés à Bruxelles ou Paris . Ils ont envie de réussir et ils savent que cela passe par l’international. Pour autant, il faut, bien sûr, connaître les jours fériés, respecter certains rites religieux afin de ne pas connaître d’impairs
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